Que dire de ce petit bout de paradis … À peine le seuil de la porte franchi, c’est tout un ensemble d’effluves qui vous accueille et vous transporte aux confins d’un berceau nommé Orient.
Je n’ai pu résister à l’envie de prolonger ce voyage à la fois olfactif et culinaire. J’ai donc fait une petite halte et ai savouré un café oriental aux notes corsées tout en m’imprégnant de l’atmosphère du lieu. L’accueil réservé aux chalands du coin est empli de chaleur, de générosité et de soin.
Le pasterma - fait maison par le père du chef cuisinier - est tout simplement divin ainsi que les divers plats présentés à la carte.
Pour ma part, je referme la porte de cette épicerie un sourire au coin des lèvres. Ce voyage des sens et l’échange sympathique avec le chef cuisinier m’auront tout simplement fait voguer sur les volutes d’une Arménie qui reste encore mystérieuse, de bien des manières, à mes yeux. Pour parfaire la note d’ensemble, une fois rentrée chez moi, j’ai laissé Lévon Minassian prendre le relais au son envoûtant du doudouk.
Bref, une belle rencontre …
Serez-vous le prochain à franchir le perron de cette épicerie …? Oui? Je compte sur vous pour nous susurrer dans le creux de l’oreille ce que ce lieu aura évoqué en vous …
To be continued! 😉